Comme expliqué en introduction, la qualité de l’eau est un critère important. C’est pourquoi cette ressource est soumise à de nombreuses analyses pour en évaluer la qualité.
Ces prélèvements permettent de détecter la présence de bactéries dans l’eau et ainsi éviter des épidémies, d’évaluer la présence de pollution ou encore de détecter des problèmes tels que la présence de plomb dans les canalisations.
L’analyse est une procédure par laquelle sont déterminées les caractéristiques chimiques, physiques ou encore sensorielles de l’eau.
La qualité attendue dépend de son usage. Les exigences les plus rigoureuses concernent l’eau potable destinée à être consommée.
Toutes les eaux sont concernées par les analyses.
Que ce soient les eaux destinées à la consommation humaine, les eaux de baignage ou de loisirs, les eaux à usage industriel ou encore les eaux usées ou résiduaires.
Pour une rapide définition de l’eau potable, la plus contrôlée, c’est une eau que l’on peut boire ou utiliser à des fins domestiques ou industrielles sans risque pour la santé. Elle peut être distribuée sous forme d’eau en bouteille (eau minérale, eau de source, eau plate ou eau gazeuse), d’eau courante (eau du robinet) ou encore dans des citernes pour un usage industriel.
Record de chaleur, vigilance sécheresse sur tout l’hexagone, ces températures caniculaires ont un impact direct sur la quantité d’eau mais aussi sur la qualité.
En effet, des bactéries peuvent se développer et se multiplier dans les eaux stagnantes. Ces cyanobactéries, aussi appelées “algues bleues” sont des bactéries photosynthétiques, c’est-à-dire qu’elles tirent parti, comme les plantes, de l’énergie solaire pour synthétiser leurs molécules organiques. Quand elles prolifèrent, elles peuvent être mortelles pour les animaux et dangereuses pour l’homme.
C’est la norme ISO 5667 qui régit les prélèvements d’eau potable et qui décrit les différentes techniques d’échantillonnage avec les récipients à utiliser ou encore le mode de conservation de l’échantillon en fonction du critère à analyser.
Par exemple, l’utilisation des flacons plastique est possible, mais pour certains paramètres, le verre sera recommandé.
Pour préserver la qualité de l’échantillon, il faut éviter une exposition prolongée des réactifs à la lumière et avoir un délai aussi court que possible entre le prélèvement et l’analyse.
Mais surtout, veiller à maintenir une température stable et basse autour de 4°C pour bloquer l’évolution des réactions.
Une variation de température peut entraîner une altération de l’échantillon faussant ainsi le résultat de l’analyse.
Il est donc impératif d’utiliser des glacières avec agents réfrigérants.
Notre gamme de glacières Komebac® Cool a été développée en partenariat avec un laboratoire pour justement être le parfait allié pour le transport de tous types de prélèvements.
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Isothermie : La Komebac® Cool est qualifiée + 2°C/+ 8°C pendant 36h selon la norme NF S 99-700 (pour un volume utile de 20 L).
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